S'ouvrir à de nouveaux horizons

groupe.jpg 

Ne laissez plus chez vous cette partie de vous-même qui constitue votre identité propre : faites du cinéma ! Epanouissez-vous dans un projet de film, développez vos compétences artistiques, aiguisez votre regard, venez à la rencontre de l'autre, développez votre esprit critique, améliorez votre maîtrise des outils du cinéma et de l'audiovisuel, et ouvrez-vous à l'international !

samedi 27 avril 2024

La fête des Lumières a battu son plein à Lyon le 8 décembre 2012, nous y étions !

  fete-des-lumieres-hotel-de-ville1  073

L'origine de cette fête :

En 1850, les autorités religieuses lancent un concours pour la réalisation d’une statue, envisagée comme un signal religieux au sommet de la colline de Fourvière. Un an plus tard, ce concours est remporté par le sculpteur lyonnais Fabisch, et la date du 8 septembre 1852 est choisie pour son inauguration. Mais au mois d’août, la Saône sort de son lit et envahit le chantier où la statue doit être réalisée. L’inauguration est donc reportée au 8 décembre, fête de l’immaculée conception.

Le jour même, les journaux annoncent le programme de la soirée et toute la ville se prépare pour l’événement. Quelques uns prévoient même d’illuminer les façades de leurs habitations à l’aide de bougies.Mais le mauvais temps va à nouveau contrarier les réjouissances, contraignant les autorités religieuses à remettre l’inauguration au 12 décembre. Malgré ce contrordre, l’enthousiasme des Lyonnais ne fut pas éteint.Dès 18h, les premières fenêtres s’allument, et à 20h, la ville entière est illuminée. Une grande partie de la population descend dans la rue, joyeuse et attendrie, s’étonnant de ce geste spontané et communicatif. Les autorités religieuses suivent le mouvement et la chapelle de Fourvière apparaît alors dans la nuit. Ce soir là, une véritable fête est née !

060 iphone Chaque année désormais, le 8 décembre, les Lyonnais déposent des lumignons à leurs fenêtres et se retrouvent pour déambuler dans les rues de la ville.

Cette année 2012, l'accent a été mis sur les différentes manières de surligner l'architecture des bâtiments en s'appuyant sur l'évolution qu'ont pu connaître les façades à travers les siècles. Ainsi, il était par exemple intéressant de redécouvrir la cathédrale Saint-Jean ornée de couleurs et de tapisseries comme cela se faisait au Moyen-âge.

Cathédrale Saint-Jean

mise en son et en lumière par Damien Fontaine

065 iphone 068 iphone

                                070 iphone 069 iphone

b_193_250_16777215_00_images_stories_Lyonlumieres2012_saint-jean1.jpg

b_219_250_16777215_00_images_stories_Lyonlumieres2012_st-jean-51.jpg

b_223_250_16777215_00_images_stories_Lyonlumieres2012_st-jean-11.jpg

                                                   

Théâtre des Célestins

mis en son et en lumière par Laurent Langlois 

046 iphone 047 iphone

 050 iphone 052 iphone

054 iphone 055 iphone

056 iphone 057 iphone

058 iphone 059 iphone

 

Quai de Saône

mis en lumière par Daniel Knipper

060 

Place des Terreaux

mise en son et en lumière par Hélène Richard, Jean-Michel Quesne, Skertzo

 071 iphone 072 iphone

b_249_249_16777215_00_images_stories_Lyonlumieres2012_place-des-terreaux-22.jpg       b_275_245_16777215_00_images_stories_Lyonlumieres2012_place-des-terreaux-frederic-chambert1.jpg

 

 

  • Aucun commentaire trouvé

Poster un commentaire en tant qu'invité

0